Edito
Ein weltweite Herausforderung
Schwerpunkt dieser Ausgabe von „Health Bells – Meng Gesondheet an ech“ ist die Krebsbehandlung. Das Thema ist aktueller denn je, denn trotz des wissenschaftlichen Fortschritts nimmt die Zahlan Fällen weltweit zu. Die Hauptursachenlaut WHO: Rauchen, Alkohol, Fettleibigkeit und Luftverschmutzung.
Nach Angaben der Internationalen Agentur für Krebsforschung (IARC) werden pro Jahr 20 Millionen neue Krebsdiagnosen gestellt, die Zahl werde nach den Prognosen bis 2050 um 77 Prozent auf 35 Millionen pro Jahr zunehmen, berichtete die IARC. Etwa jeder fünfte Mensch erkranke im Leben an Krebs. Einer von neun Männern und eine von zwölf Frauen sterbe daran. Jedes Jahr entdeckt man in Luxemburg knapp 3.400 neue Krebsfälle und schätzungsweise 18.000 Menschen leben mit einer Krebserkrankung.
Zu dem zentralen Themenkreis dieser Ausgabe beziehen Experten aus den verschiedensten Sparten Stellung, die in Luxemburg Patienten betreuen. Abgerundet wird die Ausgabe wie immer durch Beiträge über medizinische Innovation, Tipps in Sachen Ernährung und interressante News in Sachen Gesundheit.
Wir wünschen Ihnen, wie immer, eine gute und informative Lektüre.
Marc Glesener
Verantwortlicher Redakteur
Geschäftsführer Santé Services S.A.
Un défi mondial
Ce numéro de « Health Bells – Meng Gesondheet an ech » est consacré au traitement du cancer. Le sujet est plus que jamais d’actualité, car malgré les progrès scientifiques, le nombre de cas augmente dans le monde entier. Principales causes selon l’OMS : le tabagisme, l’alcool, l’obésité et la pollution atmosphérique.
Selon le Centre international de recherche sur le cancer (CIRC), 20 millions de nouveaux cas de cancer sont diagnostiqués chaque année, et ce chiffre devrait augmenter de 77 pour cent d’ici 2050 pour atteindre 35 millions par an, indique le CIRC. Environ une personne sur cinq est atteinte d’un cancer au cours de sa vie. Un homme sur neuf et une femme sur douze en meurent. Chaque année, près de 3.400 nouveaux cas de cancer sont détectés au Luxembourg et on estime que 18.000 personnes vivent avec un cancer.
Dans ce numéro d’éminents experts qui prennent en charge des patients au Luxembourg analysent la situation de l’oncologie à Luxembourg et donnent des conseils pratiques. Comme toujours, le magazine est complété par des articles sur l’innovation médicale, des conseils en matière de nutrition et des actualités intéressantes en matière de santé.
Nous vous souhaitons une bonne lecture.
Marc Glesener
Rédacteur responsable
Administrateur délégué santé services S.A.
Actualités – 100% news
Oncologie certifiée aux HRS : une reconnaissance internationale
Les Hôpitaux Robert Schuman sont certifiés PKZ (ProstataKarzinomZentrum) depuis 7 ans par OnkoZert et la Deutsche Krebsgesellschaft (DKG). Des certifications intermédiaires sont en place pour les cancers du poumon (niveau national) et du colo-rectal, audits intermédiaires pour le cancer du sein et avec des audits définitifs prévus à l’automne 2025. Les HRS sont également intégrés à plusieurs projets européens d’envergure, comme EunetCCC, JANE2 et JaPCM, visant à renforcer la qualité de la prise en charge oncologique.
Vers une prise en charge certifiée du cancer du sein aux HRS
Depuis un an, Les Hôpitaux Robert Schuman se sont engagés dans une démarche de certification pour la prise en charge du cancer du sein, inscrite dans la stratégie de l’établissement. Ce processus impose une réorganisation de cette activité, une approche structurée du parcours comme: un nombre restreint de chirurgiens agréés, des réunions de concertation pluridisciplinaires hebdomadaires, ainsi que des collaborations renforcées avec de nombreux partenaires en internes comme en externes . (radiologues, oncologues spécialisés, chirurgiens plasticiens, une Breast Care Nurse, un psycho-oncologue, kinésithérapeutes, etc). La documentation des dossiers oncologiques évoluera également permettant une structuration des informations médicales et la possibilité de produire des suivis d’indicateurs de pilotage de l’activité. La certification implique aussi une formation continue pour tous les acteurs. Ce parcours rigoureux vise une reconnaissance officielle en 2026 et reflète l’ambition de devenir un centre de référence en oncologie mammaire.
Guide pratique 2025 de la Fondation Cancer : un outil clé pour les personnes touchées par le cancer
Quels soins, quel matériel, quels frais sont pris en charge ? Que faire en cas d’incapacité de travail ? Comment défendre ses droits ? Autant de questions que l’on se pose à un moment ou un autre quand on est touché par le cancer. Le Guide pratique de la Fondation Cancer y répond et aborde les cas les plus courants sous tous les angles.
Il est disponible gratuitement en français, allemand, anglais et portugais, en version imprimée et en ligne sur le site de la Fondation Cancer.
Le Groupe Soignant en Oncologie (GSO) : Une plateforme d’échange et de formation
Le Groupe Soignant en Oncologie (GSO) est une association luxembourgeoise dédiée à la formation et à l’échange entre professionnels impliqués dans la prise en charge des patients atteints de cancer. Depuis près de 30 ans, le GSO regroupe des infirmières spécialisées, des coordonnateurs de soins et d’autres acteurs paramédicaux pour assurer une formation continue de qualité.
Collaboration inter-hospitalière
Le GSO rassemble les professionnels de tous les hôpitaux luxembourgeois et s’ouvre aux soins à domicile, maisons de repos et partenaires tels qu’Europa Donna et la Fondation Cancer. Cette coopération améliore la coordination des soins et le parcours des patients.
Événements clés
- Symposium annuel : journée de formation réunissant 250 participants. L’édition 2025 (29 novembre) portera sur les cancers gynécologiques et la sexualité.
- Mini GSO : soirées thématiques. L’édition du 18 juin 2025 au CHDN traitera de l’intégration des soins palliatifs.
Formation de qualité
Les formations se tiennent au CHL et sont ouvertes aux soignants luxembourgeois et belges (Libramont, Namur, Bruxelles…).
Trois objectifs fondamentaux
- Représenter tous les établissements hospitaliers.
- Être reconnu des oncologues et infirmiers spécialisés.
- Proposer des formations de qualité avec des experts et médecins bénévoles.
Un lieu d’échange unique
Le GSO favorise le partage de bonnes pratiques et le lien entre infirmières et soignants. L’intégration des soins à domicile et maisons de repos renforce la continuité des soins après hospitalisation.
Fédérer les projets hospitaliers
Le GSO vise à harmoniser la prise en charge des patients en fédérant des projets communs entre hôpitaux, garantissant un parcours de soins de qualité pour tous.
Relais pour la Vie 2025 : une 5e victoire solidaire pour les HRS !
Les Hôpitaux Robert Schuman sont fiers d’avoir remporté, pour la 5e année consécutive, le Trophée de l’Espoir dans la catégorie « professions de santé » lors du Relais pour la Vie 2025 ! Merci aux capitaines Carole Bouckenheimer, Fadila Saadi et Luisa Lavra, à la FHRS, à Santé Services, à l’équipe du Service National de Psychiatrie Juvénile, ainsi qu’à tous les donateurs et participants. Grâce à vous, 10 852 € ont été collectés au profit de la Fondation Cancer Luxembourg.
Rendez-vous en mars 2026 !
Une action inédite à Luxembourg pour sensibiliser au vitiligo
Ce 21 mars, à l’initiative de Incyte, une action inédite a sensibilisé le public luxembourgeois au vitiligo, une maladie auto-immune touchant jusqu’à 2 % de la population mondiale. Au-delà d’un enjeu esthétique, le vitiligo a un fort impact psychologique, aggravé par un manque de diagnostic rapide et d’accompagnement adéquat. En Europe, 65 % des patients ont été informés qu’aucun traitement n’était possible. Pour interpeller le public, des silhouettes à taille humaine ont été installées dans divers lieux de Luxembourg-Ville, symbolisant les personnes atteintes et mettant en lumière l’impact de la maladie.
Neuer Onkologie-Kurs für Pflege- und Fachpersonal
In unserem Weiterbildungsangebot haben wir nun ganz neu einen zweitägigen Kurs für Pflege- und Fachpersonal in der Onkologie. Vermittelt werden Kenntnisse zu Diagnosen, Behandlungen, Symptom-Management, Patientenbetreuung und Kommunikation. Er beinhaltet theoretische Vorträge, sowie praktische Übungen und Fallstudien. Es sind keine Vorkenntnisse erforderlich. Der Kurs findet am 29.+30.September 2025 im neuen Gebäude der “Ecole Nationale de Santé” in Strassen auf Luxemburgisch statt.
Interview
Onkologische Chirurgie bei den Hôpitaux Robert Schuman (HRS)
Dritte Säule der Krebstherapie – Ein Gespräch mit drei Fachärzten
VON JEAN-PAUL SCHNEIDER
Die Onkologie befasst sich mit der Untersuchung und Behandlung von Krebserkrankungen und bösartigen Tumoren. Neben der Strahlen- und Chemotherapie ist die onkologische Chirurgie die dritte Säule der Behandlung von Krebs. Health Bells unterhielt sich mit drei Fachärzten für onkologische Chirurgie, Dr. Bernard Faber, Chirurg für Verdauungs-, Leber-, Gallen- und Bauchspeicheldrüse, Dr. Patrick Krombach, Urologe, und Prof. Dr. Daniel Léonard, Facharzt für Viszeralchirurgie, über ihre Arbeit.
Die onkologische Chirurgie ist kein spezifisches Fachgebiet der Medizin. „Die Onkologie steht für die Übernahme und Versorgung von Patienten mit einem Krebsleiden, unterteilt in verschiedene Bereiche wie Medikation, Chemo- und Strahlentherapie sowie onkologische Chirurgie. Hinzu kommt alles, was mit Unterstützungspflege wie u. a. psychologischer Betreuung zu tun hat. Die onkologische Chirurgie ist ein Teilbereich der globalen onkologischen Versorgung“, erklärt Dr. Bernard Faber, „sie ist in der klinischen Alltagsroutine hoch spezialisiert und auf die verschiedenen ärztlichen Fachgebiete verteilt.
Fortsetzung durch Progression und Metastasen
Ein Krebs ist nicht immer an einem Organ, manchmal bildet er Metastasen oder geht von einem Organ auf ein anderes über. Ein Tumor hat verschiedene Wege zum Streuen. Am Anfang ist er auf einem Organ lokalisiert, dann streut er lokal auf die nebenliegenden Organe oder Lymphdrüsen durch Fortsetzung. Dieser Tumor kann Zellen in die Blut- oder Lymphbahn auf Distanz absetzen. Eine Metastase ist physisch nicht mit der primären Krebsstätte verbunden, d. h. das eine ist Fortsetzung durch Progression einer Masse und das andere ein Tumor im Rektum oder Magen mit einer Metastase in der Lunge oder in der Leber. „Eine Metastase ist stets geografisch vom primären Krebs getrennt“, erläutert Dr. Faber.
In der Urologie werden drei der fünf häufigsten Krebsarten beim Mann behandelt, das sind Prostata-, Blasen- und Nierenkrebs. Aber auch Hodentumore, Harnleitertumore oder jene der Schleimhaut vom Harnsammelsystem sowie das Peniskarzinom verarztet der Urologe. „Unser Hauptaugenmerk gilt dem Prostatakrebs, dem häufigsten Krebs beim Mann. Prostatakrebs ist auf Rang drei der tödlichen Krebsarten. Luxemburg liegt im Durchschnitt, wir haben zwischen 300 und 400 neue Fälle pro Jahr und zählen jährlich zwischen 30 und 40 Männer, die an Prostatakrebs sterben“, unterstreicht Dr. Krombach.
Blasenkrebs ist der zweithäufigste Krebs. Dessen häufigsten Formen sind oberflächlich, sie sind nicht mit dem Blasenmuskel verwachsen, sondern lediglich auf die Blasenschleimhaut konzentriert. Dieser Krebs lasse sich ziemlich einfach behandeln, so Dr. Krombach. Es handele sich um Patienten, die u. a. durch Blut im Urin auffielen. Es sei ein Krebs, der häufiger ist, als man denkt, der sich jedoch bei Früherkennung gut behandeln lasse.
Nierenkrebs sieht man immer häufiger. Früher wurde er nur nachgewiesen, wenn die Patienten mit Symptomen zum Arzt gingen, heute wird er meistens sekundär durch bildgebende Untersuchungen wie Scanner oder MRIs bei anderen Leiden eher zufällig entdeckt. „Die meisten oder fast alle Krebsarten spürt man im Anfangsstadium nicht. Wenn man einen Krebs bis spürt, dann ist dies meistens ein schlechtes Zeichen, denn dann drückt er schon auf andere Organe oder Bereiche“, betont Dr. Krombach.
Screening und Früherkennung
Es sei ein Drama mit dem Krebs, dass er am Anfang sehr still ist, man ihn kaum sieht und spürt, warnt Prof. Dr. Daniel Léonard. Deshalb seien Screening und Früherkennung so wichtig. Der kolorektale Krebs ist ähnlich wie in der Urologie in den Top drei der häufigsten Krebsarten und sogar Nummer zwei beim Mann. Bei der Frau ist der Brustkrebs Nummer eins, beim Mann der Prostatakrebs. Der kolorektale Krebs lässt sich umso früher desto besser behandeln. Vor einigen Jahren noch wurde mit 50 angefangen, Früherkennung zu betreiben, heute ist es mit 45 und das aus dem einfachen Grund, da festgestellt wurde, dass das Durchschnittsalter für Prostatakrebs im Begriff ist, herunterzugehen. Darmkrebs lässt sich anhand einer Stuhlprobe oder einer Koloskopie (Darmspiegelung) früherkennen. „Wenn durch diese beiden Verfahren leider keine frühzeitige Diagnose gestellt werden konnte, dann sind wir in der onkologischen und kolorektalen Chirurgie mit Darmkrebs konfrontiert“, erklärt Prof. Léonard.
Der Mastdarm oder das Rektum sind die 15 letzten Zentimeter des Darms. Die Lymphdrüsen spielen eine wichtige Rolle beim Krebs, denn die Krebszellen vermehren sich erst lokal im Organ selbst. Irgendwann fangen sie an, über die Lymphdrüsen zu wandern und werden vorerst vom Immunsystem gestoppt. Wenn man jedoch zu lange wartet, wandern sie weiter und dann redet man von einer Metastase; beim kolorektalen Krebs meistens in der Leber oder manchmal, eher für das Rektum, sogar in den Lungen. Bei einer OP, wenn der Krebs noch lokalisiert ist, muss nicht nur das Stück Darm entfernt werden, sondern auch die Lymphdrüsen. Beim Darmkrebs ist es demnach die Lokalisierung, die ändert, und das Stadium, wie dick der Tumor ist, wie stark er in die Darmwand eingewachsen ist, ob bereits Lymphdrüsen befallen sind, und als Letztes, ob Metastasen vorhanden sind, was ausschlaggebend ist, wie die Krankheit behandelt werden muss, ob ein chirurgischer Eingriff genügt oder Chemotherapie und/oder Bestrahlung angewandt werden müssen. „Wir arbeiten praktisch immer mit den Onkologen zusammen, um zu beraten, welche die beste Behandlungsmethode für den Darmkrebspatienten ist“, sagt Prof. Léonard.
Wenn die Bedingungen erfüllt sind und es für den Patienten hilfreich ist, können sämtliche Krebserkrankungen, vom Mund über die Speiseröhre, den Magen, den Darm bis zum Anus, operiert werden. „Es muss lediglich technisch machbar sein, es muss Sinn machen und es muss bewiesen sein, dass eine Chirurgie des Tumors die Lebenserwartungen verlängert und verbessert“, erklärt Dr. Faber.
Bauspeicheldrüsenkrebs auf dem Vormarsch
Das Leber-Gallensystem besteht hauptsächlich aus drei Organen, der Leber mit den Gallenwegen, der Gallenblase und der Bauchspeicheldrüse. Die drei Organe können von Krebs betroffen sein, obwohl der Gallenblasenkrebs äußerst selten, aber umso aggressiver ist. Die meisten Krebskrankheiten, die in der Leber- und Gallenchirurgie behandelt werden, sind Tumore in der Leber und der Bauchspeicheldrüse.
„Meine persönliche Erfahrung und die Statistiken auf internationaler Ebene zeigen, dass die Zahl der Bauchspeicheldrüsenkrebse vor allem bei jüngeren Leuten, wahrscheinlich durch Umwelteinflüsse, Ernährung, Pestizide usw. geradezu am Explodieren ist“, sagt Dr. Faber. Beim Bauchspeicheldrüsenkrebs sind lediglich 20 Prozent überhaupt operierbar.
Die Leber kann sowohl primäre Tumore entwickeln als auch Tumorzellen, die über die Blutbahn in der Leber hängen bleiben und dort eine Metastase bilden. Die häufigste Chirurgie der Leber besteht zu über 50 Prozent in der Entfernung von Metastasen, insbesondere Metastasen des Dickdarm- oder Enddarmkrebses.
Multidisziplinäre Tumorkonferenzen
Alle Krebspatienten werden multidisziplinär in sogenannten Tumorkonferenzen besprochen. In einer multidisziplinären Tumorkonferenz oder RCP (Réunion de concertation pluridisciplinaire) sind Chirurgen, Onkologen, zuständig für die Chemotherapie, Bestrahlungstherapeuten und Radiologen vertreten, um über die beste Behandlung für den Patienten zu beraten. Die Zusammenarbeit mit dem Centre François Baclesse und dem LNS (Laboratoire national de santé), so Prof. Léonard, sei absolut unverzichtbar. Es gibt wöchentliche Treffen in den jeweiligen Krankenhäusern, d. h. jedes Krankenhaus hat seine Tumorkonferenzen und seine fachspezifischen RCPs. Die HRS halten 13 verschiedene fachspezifische Versammlungen ab. „Es gibt vier Krankenhäuser in Luxemburg, und je ein Vertreter des Centre Baclesse und LNS müssen jeweils daran teilnehmen. Auch wenn man sich mittlerweile die Annehmlichkeit der Videokonferenzen zu nutze gemacht hat, so bedeutet dies aber noch immer einen großen Arbeitsaufwand für beide Institute“, betont Dr. Krombach.
Des Weiteren weist Dr. Krombach noch einmal auf die von Prof. Léonard angesprochene Früherkennung hin und sagt: „Was für die Gesundheit des Darms eine Stuhlprobe ist, bedeutet der PSA-Wert für die Prostata in der Urologie!“ Das PSA (Prostataspezifisches Antigen) stand lange in der Kritik, doch hat sich herausgestellt, dass es sich zu einem sehr wichtigen Utensil im Kampf gegen den Prostatakrebs entwickelt hat, und vor zwei Jahren hat die europäische Kommission eine Empfehlung an alle EU-Staaten gerichtet, dass sie eine systematische Früherkennung genauso wie die Stuhlprobe zur Vorbeugung gegen Darmkrebs für Männer bzw. Frauen in dem jeweiligen Land organisieren. „Wir sehen pro Jahr zehn Männer mit PSA-Werten über 100, deshalb ist meine Hoffnung in den Luxemburger Staat sehr groß, dass er diese Empfehlung sehr seriös nimmt und jetzt ausrichtet“, unterstreicht Dr. Krombach.
Für die Bauchspeicheldrüse gibt es keinen Früherkennungsmodus, und die Chemotherapie schlägt nicht so gut an. Wenn eine Leber gesund ist, kann man bis zu 70 Prozent der Leber entnehmen, es handelt sich aber um ein Organ, das man nicht gänzlich entfernen kann, denn ohne Leber stirbt der Mensch.
80 Prozent der Bauchspeicheldrüsen-OPs werden minimal invasiv gemacht, früher laparoskopisch und mittlerweile mit Roboter. Bei der Leber sind es etwas weniger als 50 Prozent, bei der Darmchirurgie liegt der Robotereinsatz bei über 95 Prozent.
In der onkologischen Chirurgie ist des Weiteren der „Schnellschnitt“ extrem wichtig. „Schnellschnitte » sind Schnellverfahren der feingeweblichen Diagnostik, die in weniger als 30 Minuten zu einer Begutachtung führen, während der Zeitbedarf für die übliche histologische Diagnostik ca. zwei bis drei Wochen beträgt. Beim „Schnellschnitt“ während einer OP wird die Gewebeprobe von einem LNS-Techniker vor Ort im Krankenhaus präpariert und dann dem Pathologen beim LNS in Bettemburg in digitaler Form zur Untersuchung und Begutachtung vorgelegt. „Die ,Schnellschnitt‘-Möglichkeit mit ihren Ergebnissen ist für uns onkologische Chirurgen extrem wichtig, damit wir die beste Chirurgie an den Patienten anpassen können“, betont Dr. Faber.
Echo-psy
Psycho-oncologie : des mots pour les maux
Par Jill Balance et Luana Theisen sous la supervision de Salvatore Loria, Responsable Psychologie aux HRS
L’annonce d’un cancer peut être bouleversante. Face à un diagnostic, à l’approche d’un traitement, ou, dans certains cas, des démarches de fin de vie, de nombreuses personnes peuvent se sentir submergées par une vague d’émotions. Bien que chaque vécu soit unique, celles-ci incluent souvent la peur, la tristesse, la colère, voire le déni ou la culpabilité… En effet, le cancer n’affecte pas seulement le corps – il affecte aussi l’esprit.
Selon les cas, la maladie touche à différents aspects de la vie : l’autonomie, l’image du corps, la sexualité, la fertilité, la vie socio-professionnelle et familiale… Au niveau psychologique, des séquelles telles que l’anxiété ou la dépression peuvent parfois survenir. Devant un corps qui nous trahit, la représentation du « soi » est ébranlée. Alors comment continuer à être « soi » quand on ne se reconnaît plus ? Comment se reconquérir ?
La psycho-oncologie fait partie des soins de support qui visent à préserver la qualité de vie des patients atteints de cancer. Cette branche de la psychologie soutient les personnes concernées dans le développement de stratégies d’adaptation face à la maladie et à ses conséquences. Dans un premier temps, une évaluation peut être proposée, par exemple par le biais du « Thermomètre de détresse ». Cette échelle aide les professionnels de la santé mentale à mieux comprendre et à s’adapter aux besoins spécifique de chaque personne.
Par la suite, une multitude d’outils peuvent être mis à la disposition des patients. Tout d’abord, peu importe le stade de la maladie, il est primordial d’offrir un lieu d’entente bienveillant et sécurisé, tant à la personne concernée qu’à ses proches. Parfois, le système familial peut être déstabilisé par une vague d’émotions, et la communication risque d’être impactée. Mais nous avons souvent bien plus de ressources que nous le pensons !
L’accompagnement psychologique aide à exprimer, contenir et gérer ses émotions, afin d’en faire un atout plutôt qu’un fardeau. Mobiliser le réseau social est en effet un élément essentiel de la prise en charge. Celui-ci peut prendre multiples formes : familles, amis, professionnels de la santé, groupes de soutien… Ensemble, il est possible de construire l’espoir, le sens et la résilience qui semblent parfois perdus dans une marée d’inconnus.
De plus, les techniques de relaxation peuvent aider à gérer la douleur, les effets secondaires de certains traitements ou la fatigue. Pour certaines personnes, la spiritualité peut aussi également être un point d’appui. Enfin, en soutenant l’autonomie dans la mesure du possible et en respectant la dignité des patients, les psychologues peuvent soutenir l’adoption de comportements de santé et l’adaptation des activités du quotidien.
De nombreuses études montrent que les interventions psychologiques, dans un cadre pluridisciplinaire, peuvent contribuer à améliorer la qualité de vie des patients en oncologie. Que cela soit en cours d’hospitalisation ou en chimiothérapie ambulatoire, nous sommes là pour vous soutenir. Alors au moindre besoin, n’hésitez pas à prendre contact avec un professionnel de la santé mentale : vous n’êtes pas seuls !
Focus Sport & santé
CANCER DE L’UTÉRUS – une méthode de traitement prometteuse se développe au Luxembourg
Le Centre François Baclesse (CFB), Centre National de Radiothérapie du Grand-Duché, développe, en étroite collaboration avec le Centre Hospitalier Emile Mayrisch (CHEM), une nouvelle méthode prometteuse de traitement des tumeurs affectant le col et le corps de l’utérus, jusque-là pratiquée uniquement dans les pays limitrophes : la curiethérapie utérovaginale.
Curiethérapie – traiter le cancer au cœur de la tumeur
La curiethérapie est une technique d’irradiation consistant à introduire des sources radioactives (iridium) au contact ou à l’intérieur même de la tumeur. Ce traitement est donc optimal pour cibler la zone concernée par le cancer, directement et avec précision, en protégeant davantage les organes situés à proximité.
La curiethérapie est utilisée au CFB depuis de nombreuses années dans les traitements du cancer de la prostate, ainsi qu’en association avec la radiothérapie externe dans le contexte du traitement du fond vaginal.
Depuis 2024, le CFB développe une nouvelle application de ce traitement: la curiethérapie utérovaginale, une première au Luxembourg. Cette technique est utilisée, en complément d’un traitement en radiothérapie externe, pour des tumeurs affectant le col et le corps de l’utérus. Elle nécessite deux courtes hospitalisations d’une durée de deux jours à intervalle d’une semaine.
« En développant cette technique au Grand-Duché, nous offrons à nos patientes une prise en charge plus centralisée au sein du Luxembourg et visons à améliorer leur confort dans leur chemin thérapeutique ; auparavant elles devaient réaliser ce « complément de dose » dans les pays limitrophes » explique Dr Johanne Hermesse, Médecin Radiothérapeute Oncologue au Centre François Baclesse.
Un effort collectif qui ouvre de nouvelles perspectives pour les patients
La mise en place de cette pratique au Luxembourg est le fruit d’une étroite collaboration entre le Centre Hospitalier Emile Mayrisch (CHEM) et le CFB.
« Nous mettons à disposition notre bloc opératoire, le transport des patients ainsi qu’un de nos services d’hospitalisation. De nombreux collaborateurs ont pu être formés aux particularités de cette prise en charge : l’équipe d’anesthésie, nos assistants techniques médicaux (ATM) et plusieurs infirmières du CHEM, ainsi que les médecins Curiethérapeutes du CFB, » explique le Dr René Metz, Directeur général du CHEM.
Forts de ce succès, le CFB et le CHEM envisagent de développer conjointement de nouvelles indications – notamment pour certaines lésions cutanées cancéreuses ou bénignes (chéloïdes).
À propos du Centre François Baclesse
Le Centre François Baclesse (CFB) est un établissement de santé à but non lucratif prenant en charge des patients relevant d’une indication de radiothérapie à visée curative ou palliative. Il s’inscrit dans un contexte pluridisciplinaire de cancérologie qui implique tous les établissements hospitaliers publics et privés du Luxembourg et de la Grande Région.
Le CFB offre aux patients ainsi qu’à leurs familles, une prise en charge globale, sécurisée et de qualité, dans une approche humaine et participative.
Le centre vise à développer avec les autres acteurs luxembourgeois et de la Grande Région un réseau d’excellence dans le domaine de la cancérologie.
Il s’engage également dans la recherche en cancérologie et participe à la formation des futures générations de soignants.
Contacts
Laura STAR – Chargée de Communication
[email protected]
Tél. + 352 5711 67 402
Cellule Communication CHEM
[email protected]
Tél. + 352 5711 82 208 / +352 5711 82 206
Agir pour la prévention, le dépistage et l’accompagnement des femmes concernées par le cancer du sein.
Depuis plusieurs années, Europa Donna Luxembourg s’engage pour la santé des femmes en mettant 3 axes au cœur de son action : la prévention primaire, la promotion du dépistage et l’accompagnement des patientes pendant et après la maladie.
Avec une vision intégrative de la santé, Europa Donna Luxembourg s’inscrit avec les autres institutions et associations du pays dans une volonté d’une prise en charge globale, humaine et personnalisée de la personne.
Europa Donna a pour mission d’informer, de sensibiliser et d’offrir des solutions concrètes pour que chaque personnes puisse être actrice de sa santé et vivre son parcours de la meilleur manière possible.
La prévention primaire :
Europa Donna Luxembourg œuvre à sensibiliser la population et à promouvoir des actions concrètes pour intégrer ces bonnes pratiques au quotidien, (hygiène de vie, activité physique, alimentation, gestion du stress,…)
Le dépistage
Un cancer détecté tôt se soigne mieux. C’est pourquoi Europa Donna Luxembourg agit pour encourager les femmes à réaliser :
- Des examens de dépistage
snotamment la mammographie à partie de 45 ans (programme mammographie du Ministère de la Santé). - L’autopalpation mensuelle et le suivi gynécologique annuel
Nous travaillons avec les autorités de santé et les structures médicales pour favoriser l’accès au dépistage et à une prise en charge efficace.
L’accompagnement pendant et après la maladie, vers une amélioration de la qualité de vie durant tout le parcours de soins de la personne
Le diagnostic du cancer du sein bouleverse la vie d’une personne et de son entourage. Europa Donna soutient les personnes, pendant et après la maladie, mettant en place des solutions de soutiens pour rompre avec l’isolement et trouver des outils pour améliorer leur qualité de vie.
- Consultation d’écoute, de conseils et d’orientation, intégrant toutes les informations sur les ressources disponibles
- Groupe de parole animé par une psychothérapeute et sexologue
- Café Donna, proposition de rencontres en toute simplicité dans des lieux de rencontres en ville, pour échanger et profiter d’un moment convivial en dehors des milieux médicaux.
- Une proposition de soins de support avec une intervention financière partielle. Ces soins presté par des praticiens spécialisés, s’appuient sur des études validées et une approche scientifique rigoureuse, en cohérence avec les principes d’oncologie intégrative tel que la sophrologie, les massages ou encore l’art thérapie, l’acupuncture,… .
- Une proposition de financement d’aides familiales pour les familles touchées par la maladie qui ont des enfants de moins de 13 ans. (en lien avec ARCUS et la Fondation Cancer)
Notre ambition : que chaque personne puisse bénéficier d’un accompagnement digne, bienveillant et adapté, pour retrouver un équilibre physique, émotionnel et social après un cancer.
Nos coordonnées :
Europa Donna Luxembourg Asbl
1-b, rue Thomas Edison`
L-1445 Strassen
Tél : +352 621478394
Email : [email protected]
www.eruopadonna.lu
Wie Krebs Angehörige belastet
Die Krankheit betrifft nicht nur Patient*innen, sondern auch deren Umfeld. Selbstfürsorge ist daher entscheidend, um Erkrankte unterstützen zu können.
Überforderung, Angst, Trauer – viele Krebspatient*innen kennen diese Gefühle nur allzu gut. Doch auch enge Angehörige trifft eine Krebsdiagnose oft mit voller Wucht. Während Erkrankte meist ein umfassendes Therapieangebot, Fürsorge und Aufmerksamkeit erhalten, stellt sich die Frage: Wer hilft den Helfer*innen?
Die psychische Belastung kann für Angehörige sogar noch stärker sein als für die Betroffenen selbst, denn sie befinden sich in einer Doppelrolle: Sie sind Mitbetroffene – und gleichzeitig die wichtigsten Unterstützer*innen. Beide Rollen in Einklang zu bringen, kann herausfordernd und kräftezehrend sein. Viele fragen sich mit schlechtem Gewissen: Steht es mir zu, Hilfe in Anspruch zu nehmen?
Es besteht das Risiko, dass Angehörige sich überfordern, ihre eigenen Bedürfnisse vernachlässigen und dadurch psychische Leiden entwickeln. Krebs ist ein lang anhaltender Ausnahmezustand – ein Marathon für Körper und Seele. Deshalb ist es wichtig, dass Angehörige sich bewusst Zeit und Raum nehmen, um Kraft zu schöpfen und ihre eigenen Sorgen und Bedürfnisse zu äußern.
Das kann jedoch schwierig sein, wenn sich der Krebs wie ein Dritter in eine Beziehung drängt. Aus Angst, die erkrankte Person zusätzlich zu belasten, wird häufig geschwiegen, anstatt sich offen auszutauschen. Das kann langfristige negative Auswirkungen auf die Beziehung haben – auch über die Erkrankung hinaus. Dabei muss eine Krebsdiagnose nicht zwangsläufig zur Bewährungsprobe werden. Sie kann sogar eine Chance bieten, mehr Intimität und Vertrauen zu entwickeln – vorausgesetzt, beide Seiten teilen ihre Gefühle offen miteinander.
Wichtig ist, den Krebs nicht dauerhaft in den Mittelpunkt zu stellen. Gemeinsame Aktivitäten und schöne Momente helfen, ein emotionales Gleichgewicht zu schaffen. Das kann jedoch nur gelingen, wenn Angehörige den Mut haben, Hilfe anzunehmen und sich anderen anzuvertrauen.
Das Therapieangebot für das direkte Umfeld der Patient*innen sollte daher ausgebaut und stärker gefördert werden – damit niemand mit der Krankheit allein umgehen muss. Auch nicht die Angehörigen.
Service Social
Travail et maladie … Comment réagir ?
Pia Heischling, Sofia Alves et Stéphanie Basile
Une absence prolongée du travail pour cause de maladie peut avoir des conséquences importantes touchant autant les aspects matériels que la dimension psychologique et sociale. Le système de sécurité sociale luxembourgeois prévoit des dispositions pour soutenir les employés en arrêt maladie, mais il est toutefois crucial d’en examiner les limites et les implications à long terme.
Si l’activité professionnelle devient incompatible avec l’état de santé, le patient peut entamer des démarches pour utiliser au maximum les solutions existantes.
- Un employé en incapacité de travail pour cause de maladie a le droit au maintien de son salaire par son employeur durant 77 jours. Passé ce délai, la CNS prend la relève en payant les indemnités pécuniaires de maladie. Cependant, ce paiement ne peut pas dépasser un total de 78 semaines pour une période de référence de 104 semaines. Au-delà, l’employé se retrouve sans emploi.
N.B. : Les employés sont protégés contre le licenciement pendant 26 semaines à compter du début de leur incapacité de travail pour autant qu’ils respectent les règles du droit du travail.
- La reprise progressive du travail est disponible si l’employé a été en incapacité de travail pendant au moins un mois au cours des trois mois précédents et est toujours malade au moment de la demande. Elle nécessite l’accord du médecin, de l’employeur et l’approbation du CMSS. Cette période est comptabilisée dans la durée maximale des indemnités de maladie de 78 semaines.
- Le reclassement professionnel : si l’emploi n’est plus compatible avec l’état de santé de l’employé, celui-ci peut introduire auprès de la médecin du travail une demande :
* de reclassement interne (au sein de son entreprise) p. ex. l’adaptation du temps de travail.
* de reclassement externe c’est-à-dire demandeur d’emploi auprès de l’ADEM en tant que reclassé.
- La pension d’invalidité : lorsque le patient a épuisé ses droits à l’arrêt maladie, il peut introduire une demande de pension d’invalidité auprès de la CNAP.
L’employé peut à tout moment s’adresser à un service social pour être guidé et soutenu dans les choix judicieux et les démarches nécessaires.
Interview
Institut National du Cancer : Zentrale Koordinationsstelle für Kampf gegen Krebs in Luxemburg
Interview mit Direktor Dr. Nikolai Goncharenko
VON JEAN-PAUL SCHNEIDER
Das Institut National du Cancer (INC) ist Luxemburgs nationales Krebsinstitut. Es wurde 2015 im Rahmen des Ersten Nationalen Krebsplans gegründet und hat seinen Sitz in Strassen. Das INC koordiniert die landesweite Organisation der Onkologie, entwickelt Behandlungsleitlinien und setzt sich für Zertifizierungen zur Verbesserung der Versorgungsqualität ein. Des Weiteren organisiert es multidisziplinäre Tumorkonferenzen für seltene Krebsarten, unterstützt die Umsetzung personalisierter Medizin und fördert die Zusammenarbeit zwischen Gesundheits- und Forschungseinrichtungen im Kampf gegen den Krebs.
Health Bells sprach mit INC-Direktor Dr. Nikolai Goncharenko über die Hauptaufgaben und Ziele des Instituts, dessen Beteiligung am aktuellen Zweiten Nationalen Krebsplan, die Unterstützung der Krebsforschung und Initiativen zur Einbindung von Patienten zur Verbesserung der Patienteninformation sowie die Unterstützung der Krebsprävention, -behandlung und -nachsorge.
Dr. Nikolai Goncharenko, was sind die Hauptaufgaben des Nationalen Krebsinstituts?
Das Nationale Krebsinstitut ist die zentrale Einrichtung in Luxemburg, die sich mit dem Kampf gegen Krebs befasst. Es wurde gegründet, um die Umsetzung nationaler Krebsstrategien, wie etwa den Nationalen Krebsplan zu unterstützen. Zu diesen Strategien gehören u. a. die Förderung gesunder Lebensweisen und Aufklärung zur Risikovermeidung, zudem die Organisation nationaler Programme zur Krebsfrüherkennung, die Zusammenarbeit mit dem Nationalen Krebsregister zur Erfassung und Auswertung von Krebsdaten, die Entwicklung und Empfehlung von Leitlinien für eine hochwertige Krebsbehandlung und die Verbesserung der Patienteninformation und -betreuung sowie deren Rechte im Gesundheitssystem. Das INC fördert die Zusammenarbeit zwischen Krankenhäusern, Forschungseinrichtungen und Gesundheitsbehörden, um eine strukturierte und standardisierte Versorgung von Krebspatienten sicherzustellen. Das Institut dient als Diskussionsplattform für viele dieser Aktivitäten.
Das INC hat den rechtlichen Status eines gemeinnützigen Vereins, der sich aus Hauptakteuren der Krebsversorgung sowie der Zivilgesellschaft, vertreten durch Krebsverbände und -stiftungen zusammensetzt und im Auftrag des Gesundheitsministeriums tätig ist. Das Institut zählt derzeit sieben feste Mitarbeiter, ergänzt durch fünf projektgebundene Kräfte, die das gesamte Spektrum der Tätigkeit abdecken. Derzeit laufen Beratungen zur Umwandlung des INC in eine öffentliche Einrichtung. Dies wird seine strategische Handlungsfähigkeit deutlich erweitern, um Krankenhäuser und weitere Akteure im Gesundheitswesen bei der Planung und praktischen Umsetzung notwendiger Veränderungen und Fortschritte zu begleiten.
Zuständig für Koordination und Organisation
Und wer sind diese Akteure?
Unsere Mitglieder, die vier Krankenhäuser des Landes, das CHL (Centre Hospitalier de Luxembourg), die HRS (Hôpitaux Robert Schuman), das CHEM (Centre Hospitalier Emile Mayrisch) und das CHdN (Centre Hospitalier du Nord), das Centre François Baclesse, die SLO (Société Luxembourgeoise d’Oncologie), der Service national d’information et de médiation dans le domaine de la Santé, die Fondation Cancer Luxembourg und die Fondatioun Kriibskrank Kanner. Das Gesundheitsministerium hat einen Beobachterstatus beim INC.
Wie sieht die Zusammenarbeit zwischen diesen Akteuren aus?
Die Idee 2015 war, dass das INC als nationale Referenzstelle für alle onkologischen und krebsrelevanten Fragen dienen wird. Unsere Hauptaktivitäten bestanden deshalb am Anfang in der Gründung von thematischen Arbeitsgruppen, insbesondere zur Ausarbeitung von nationalen Leitlinien (référentiels) und Patientenpfaden (parcours de patients) zur Behandlung diverser Krebsarten. Die sogenannten „RCP (Réunions de concertation pluridisciplinaires) nationales“, also die nationalen Tumorkonferenzen für seltene Krebsarten oder solche mit schlechter Prognose haben wir auf nationaler Ebene angegliedert, während die häufiger vorkommenden Krebsarten von lokalen „RCP hospitaliers“ in den jeweiligen Krankenhäusern besprochen werden.
Betreibt das INC auch Forschung?
Nein, wir sind ausschließlich zuständig für Koordination und Organisation. In Luxemburg gibt es andere Einrichtungen wie das LIH (Luxembourg Institute of Health) und das LISER (Luxembourg Institute of Socio-Economic Research), die Forschung betreiben. Die Universität Luxemburg macht nicht nur naturwissenschaftliche und biologische Forschung, sondern verfolgt auch seit einigen Jahren ein medizinisches Programm für Onkologie. Das INC arbeitet mit vielen dieser Einrichtungen zusammen zur Unterstützung der Forschung und neuerdings auch zur Förderung der Aus- und Weiterbildung.
Starke internationale Zusammenarbeit
Wie sieht es mit der Zusammenarbeit auf internationaler Ebene aus?
Das INC ist auch international gut vernetzt. Es beteiligt sich an verschiedenen europäischen Projekten wie den Joint Actions (EUnetCCC, JANE-2 und PCM) und arbeitet eng mit anderen Krebsinstituten sowie Organisationen wie die DKG (Deutsche Krebsgesellschaft), die OECI (Organisation of European Cancer Institutes) oder die ECO (European Cancer Organisation) zusammen. Dabei geht es vor allem, Erfahrungen auszutauschen, gemeinsame Standards zu entwickeln und Luxemburgs Rolle in der europäischen Krebsbekämpfung zu stärken. Besonders wichtig ist dem INC auch, die Anliegen kleiner Mitgliedstaaten einzubringen und deren Perspektive in europäischen Gesundheitsfragen sichtbar zu machen. Durch die Beteiligung an europäischen Projekten bekommen das INC sowie dessen nationale Partner auch zusätzliche finanzielle Mittel von europäischer Seite. Über die nächsten vier Jahre machen das fast fünf Millionen Euro aus.
Darüber hinaus hat das INC eine gute und intensive Zusammenarbeit mit klinischen Referenzzentren in anderen Ländern, z. B. mit der Universität Frankfurt für neurologische Tumore, dem CHU Liège für gynäkologische Onkologie und dem Institut Jules Bordet in Brüssel für die molekularen Tumorkonferenzen.
Was sind die konkreten Ziele des INC?
Es gibt mehrere Ziele. Dabei handelt es sich um die Entwicklung und Umsetzung von verschiedenen nationalen Krebsstrategien. Das INC hat sehr viel dazu beigetragen, um verschiedene Akteure zusammenzubringen, die vorher nicht so stark und intensiv zusammengearbeitet haben. Zurzeit arbeiten wir ebenfalls an der Integration von Akteuren, die in den Bereichen Forschung sowie Ausbildung und Weiterbildung tätig sind. Unsere große Herausforderung ist die Vorbeugung, Früherkennung, Versorgung und Nachversorgung von unterschiedlichen Krebserkrankungen. Hier möchte ich aber erwähnen, dass Vorbeugung und Früherkennung auf nationaler Ebene im Zuständigkeitsbereich der Direction de la Santé liegen. Das INC berät die Direction de la Santé in Fragen betreffend Leitlinien, sogenannte „Best Practices“, bei der Früherkennung bestimmter Krebsarten. Bei manchen dieser Fragen spielen nicht nur die neuesten wissenschaftlichen Erkenntnisse, sondern auch Kosten und verfügbares Budget eine wichtige Rolle.
Wohin mit der Gesundheitsökonomie?
Verfügt das INC demnach auch über eine Kompetenz im Bereich Gesundheitsökonomie?
Nein, die ökonomische Evaluierung ist eine Kompetenz, die wir beim INC momentan noch nicht haben. Das Konzept der ökonomischen Begutachtung von Produkten und Dienstleistungen im Gesundheitsbereich, die auf die sogenannte „Value-Based Healthcare“ abzielt, kommt immer öfter in vielen Ländern zur Diskussion, und die Gespräche darüber, wie es umgesetzt werden könnte, haben auch in Luxemburg bereits begonnen.
Welche Projekte und Initiativen fördert das INC noch?
Wir arbeiten sehr intensiv an Projekten in den Bereichen Zertifizierung und Qualität mit allen Krankenhäusern zusammen mit dem Ziel, die Versorgungsqualität für Patienten und ihre Familien, aber auch die allgemeinen Rahmenbedingungen für Pflegekräfte und medizinisches Fachpersonal zu verbessern. Zurzeit gibt es bereits zwei zertifizierte onkologische Zentren in Luxemburg, das Prostatakrebszentrum bei den HRS und das Brustkrebszentrum im CHL. Des Weiteren arbeiten wir am Aufbau des ersten landesweiten Netzwerks für Lungenkrebs. Hervorheben möchte ich die maßgebliche Unterstützung der HRS, die derzeit die Rolle der ersten Leitung des Netzwerks übernommen haben. Zudem ist der Aufbau eines nationalen Netzwerks für gynäkologische Krebserkrankungen, unterstützt durch europäische Fördermittel, vorgesehen.
Eines der Ziele des INC ist „zu einer effizienten Krebsbekämpfung beizutragen“. Was bedeutet das genau?
Das bedeutet Qualitätsoptimierung z. B. durch Standardisierung von Patientenpfaden und Leitlinien, wie Patienten versorgt werden sollen. Darüber hinaus umfasst dies die Förderung der Prävention und Früherkennung, die Verbesserung der interdisziplinären Zusammenarbeit zwischen Fachärzten und zwischen Krankenhäusern, die Stärkung der onkologischen Weiterbildung, die Nutzung digitaler Lösungen zur besseren Datennutzung und -vernetzung sowie die aktive Einbindung von Patienten in Entscheidungsprozesse. Effizienz bedeutet in diesem Zusammenhang auch, Mehrfachuntersuchungen zu vermeiden, Ressourcen gezielt einzusetzen und durch klare nationale Strategien messbare Fortschritte in der Krebsbekämpfung zu erzielen.
Das INC will u. a. zur Eindämmung der Gesundheitsausgaben im Bereich Krebsmedizin seinen Beitrag leisten. Auf welche Weise kann es sich hier einbringen?
Das INC ist derzeit an der Ausarbeitung des Kapitels „Les politiques de santé en cancérologie“ des künftigen Nationalen Krebsberichts beteiligt. In diesem Rahmen finden zurzeit Diskussionen zwischen Experten der zentralen Gesundheitseinrichtungen Luxemburgs statt. Dabei wurden bereits mehrere zentrale Fragestellungen und Handlungsfelder identifiziert. Um diese fundiert zu bearbeiten, müssen relevante Daten – u. a. von Krankenhäusern, dem nationalen Krebsregister (RNC), vom Nationalen Gesundheitsfonds (FNS), der Generalinspektion der Sozialen Sicherheit (IGSS) – analysiert werden. Dafür sind spezifische Fachkompetenzen und Ressourcen erforderlich, die weit über die Mittel hinausgehen, die dem INC derzeit zur Verfügung stehen. Um konkrete Lösungsansätze in diesem Bereich zu entwickeln, werden politische Entscheidungen von wesentlicher Bedeutung sein.
Derzeit ist das INC an der Umsetzung des „2e Plan National Cancer 2020-2024 beteiligt. Was genau ist hier dessen Aufgabe?
Der Plan wurde wegen der Covid-Pandemie um zwei Jahre bis 2026 verlängert. Die Gesamtkoordination des Plans sowie das Verlaufsmonitoring obliegt der Direction de la Santé. Der Plan enthält acht unterschiedliche Achsen mit jeweils mehreren Aktionen. Das INC koordiniert die erste Achse des Plans, insbesondere Fragen der Governance und Koordination.
Welchen direkten oder indirekten Mehrwert stellt das INC auf nationaler Ebene für die luxemburgischen Krankenhäuser dar?
Ein bedeutender Mehrwert ergibt sich für die luxemburgischen Krankenhäuser aus dem vom INC getragenen Projekt zur Entwicklung eines „Comprehensive Cancer Center“ (CCC) nach europäischem Vorbild. Ziel ist die enge Verzahnung von Klinik, Forschung und Weiterbildung in einem nationalen Netzwerk. Besonders hervorzuheben ist die enge Zusammenarbeit zwischen der Fondation Cancer, der Fédération des Hôpitaux Luxembourgeois (FHL), der Direction de la Santé und dem LIH, die darauf ausgerichtet ist, die tatsächlichen Bedürfnisse von Krebspatientinnen und -patienten in den Mittelpunkt zu stellen.
Un produit – une recette
Le melon : fruit incontournable et rafraichissant de l’été !
Par Vinciane Hammer, diététicienne Santé Services
Le melon est le fruit d’une plante qui porte le même nom et qui appartient à la famille des cucurbitacées comme le potiron, la courgette, le concombre et la pastèque.
Les principales variétés connues dans nos régions sont le melon Cantaloup ou melon Charentais et le melon de Cavaillon qui arrive plus tardivement dans la saison et qui se conserve mieux.
Ces deux melons ont une chair orangée et sucrée.
Il existe également le melon Galia dont la chair est plus verte et plus juteuse.
Excellente source de flavonoïdes
Le melon Cantaloup est riche en antioxydants tels que le bêta-carotène, la lutéine, la zéanxanthine et la cryptoxanthine qui ont la capacité de protéger les cellules contre le stress oxydant.
Richesse en vitamine A et C
Les vitamines A et C sont des antioxydants qui aident à prévenir les effets nocifs des radicaux libres. Seulement 100grammes de melon Cantaloup apportent 68% des apports journaliers recommandés en vitamine A et 61% des apports journaliers recommandés en vitamine C.
Booster les défenses immunitaires
Le melon aide à renforcer le système immunitaire grâce aux carotènes et antioxydants qu’il contient et qui sont utiles dans la prévention de différentes infections. Le bêta-carotène est particulièrement connu pour son rôle immunitaire.
Recette : salade de melon au poulet mariné et mozzarella
Durée de la préparation : 20 minutes
Ingrédients pour 4 personnes :
- 1 melon
- 2 blancs de poulet
- 3 cuillères à café de miel liquide
- 3 cuillères à soupe d’huile d’olive
- 3 cuillères à café d’huile de sésame
- quelques gouttes de sauce au piment
- 12 tomates cerise
- quelques feuilles de salade (romaine)
- quelques feuilles de menthe ciselées
- 1 cuillères à soupe de graines de sésame
- Sel et poivre
- 250g de mozzarella
Préparation :
- Préparation de la marinade : dans un bol, mélanger l’huile d’olive, l’huile de sésame, le miel et ajouter quelques gouttes de sauce au piment. Assaisonner de sel et de poivre.
- Tailler les blancs de poulet en lanières et les déposer dans la marinade. Mélanger, filmer et laisser reposer pendant 30 minutes au réfrigérateur.
- Laver les tomates cerise. Les couper en deux.
- Couper le melon en deux et retirer les graines à l’aide d’une cuillère. Le couper en tranches et retirer la peau en glissant la lame d’un couteau entre la peau et la chair. Tailler les tranches de melon en cubes.
- Laver et tailler la salade en fines lanières.
- Dans une poêle bien chaude, faire cuire les blancs de poulet jusqu’à ce qu’ils soient bien dorés (inutile d’ajouter de matière grasse, les morceaux de poulet sont graissés par la marinade). Ensuite laisser refroidir les morceaux de poulet.
- Couper la mozzarella en morceaux.
- Dans un saladier, mélanger tous les ingrédients et parsemer de graines de sésame juste avant de server.
Focus sport & santé
Auto-palpation des seins : un geste simple pour mieux se connaître
L’auto-palpation des seins est une méthode d’observation et de palpation régulière qui aide les femmes à repérer toute anomalie pouvant évoquer un cancer. Elle peut débuter dès 25 ans, de préférence quelques jours après les règles, ou à jour fixe pour les femmes ménopausées.
Ce geste ne remplace pas un suivi médical, mais il complète l’examen clinique et le dépistage par mammographie. Lors de l’auto-examen, soyez attentive à tout changement : masse, rougeur, écoulement, rétraction de la peau, douleur persistante ou nodule dans l’aisselle.
L’auto-palpation se fait en deux étapes : l’inspection visuelle devant un miroir (dans différentes positions) puis la palpation à l’aide de trois doigts, avec trois niveaux de pression. Trois techniques existent : verticale, circulaire ou par quarts. Testez-les et choisissez celle qui vous convient.
En cas d’anomalie persistante, consultez un professionnel. Rester attentive à ses seins, c’est prendre soin de sa santé.
Pour lire l’article dans son entièreté, rendez-vous sur www.acteurdemasante.lu
PROTEA: Ein Programm, um nach dem Burn-out wieder aufzublühen
In der Burn-out-Klinik des GesondheetsZentrum bietet das PROTEA-Programm (PROgramm für die Therapeutische Behandlung von emotionaler Erschöpfung im Ambulanten Bereich) eine interdisziplinäre Betreuung bei Burn-out – ohne stationären Aufenthalt.
Es richtet sich an Personen mit beruflicher Erschöpfung und/oder Neurasthenie(Z73.0 oder F48.0). Das 12-wöchige Programm kombiniert Gruppenbegleitung (max. 6 Teilnehmende), individuelle Betreuung und ermöglicht weiterhin eine Teilzeitberufstätigkeit. Derzeit wird es auf Luxemburgisch und/oder Deutsch angeboten.
PROTEA basiert auf einer umfassenden medizinischen und psychologischen Diagnostik und umfasst kognitiv-emotive-verhaltenstherapeutische Ansätze, Psychoedukation, Entspannungstechniken, revitalisierende Bewegungseinheiten sowie Ernährungsempfehlungen.
Der Name PROTEA bezieht sich auf die gleichnamige Pflanze, die nach Bränden wieder erblüht – ein Symbol der Resilienz.
Mehr Infos unter:
www.gesondheetszentrum.lu
Tout savoir sur les légumineuses
Qu’est-ce qu’une légumineuse ?
Les légumineuses sont des cultures récoltées pour leurs grains secs : haricots, lentilles, pois… Elles sont peu coûteuses, se conservent longtemps, et sont riches en nutriments.
À quelle fréquence en consommer ?
Les recommandations nutritionnelles conseillent d’en consommer 2 fois par semaine.
Une combinaison gagnante : légumineuses + céréales
Les légumineuses sont riches en lysine, un acide aminé que les céréales ne contiennent pas. Inversement, les céréales apportent de la méthionine. En les associant, on obtient tous les acides aminés essentiels, sans protéines animales : un vrai plat complet !
Des bienfaits nutritionnels variés
Riches en protéines végétales, fibres, minéraux (fer, magnésium, zinc, potassium), vitamines (B9, provitamine A, vitamine C si consommées vertes), les légumineuses sont pauvres en lipides. Leur Index Glycémique bas favorise une énergie durable et évite les fringales. Très rassasiantes, elles contribuent aussi à réduire l’absorption des graisses et du cholestérol.
Astuce digestion
Certaines légumineuses comme les pois chiches, haricots ou fèves peuvent être difficiles à digérer. Faites-les tremper une nuit dans l’eau froide (puis jetez l’eau). Si vous optez pour des conserves, pensez à bien les rincer pour éliminer l’excès de sel.
Liste des principales légumineuses :
• Haricots secs : rouges, blancs, noirs, mungo
• Lentilles : vertes, corail, brunes, du Puy
• Pois : chiches, cassés, petits pois
• Fèves
• Soja
Source : www.acteurdemasante.lu
Medical News
Move Together, Heal Together – avec l’ALGSO
Par pcsupport.lu
Faire de l’exercice physique quand on a (ou a eu) un cancer ? Absolument. C’est même essentiel.
L’ALGSO (l’Association Luxembourgeoise des Groupes Sportifs Oncologiques a.s.b.l.), première association de ce type au Luxembourg, propose des activités physiques adaptées avant, pendant et après un cancer.
Pourquoi ? Parce que le sport diminue la fatigue, améliore le moral, renforce le corps et aide à minimiser et mieux supporter les effets secondaires des traitements. Et surtout, parce qu’on ne guérit pas seul.
Nos cours sont encadrés par des kinésithérapeutes et coaches spécialisés, pour vous accompagner en toute sécurité et sérénité. Gym douce, renforcement, aquagym, marche, course, danse, yoga, etc.… Il y en a pour tous les niveaux et tous les profils.
Peu importe l’étape à laquelle vous vous trouvez — que vous veniez d’être diagnostiqué·e, que vous soyez en plein traitement ou que vous cherchiez à prévenir une rechute — notre famille ALGSO vous accueille à bras ouverts. Ici, on bouge, on rit, on se soutient.
Plus d’infos sur :
Von Esch in die Hauptstadt
Die geriatrischen Dienste der HRS sind umgezogen
Schon seit langem war klar, dass sowohl die geriatrischen Rehabilitationsdienste (stationär und ambulant) als auch die kognitiv-behaviorale Einheit (UCC) den Standort Sainte-Marie in Esch-sur-Alzette verlassen würden.
Die UCC ist mittlerweile, seit Dezember 2024, in den Räumlichkeiten der HRS im Hôpital Kirchberg untergebracht, die Geriatrie ist Ende in die ZithaKlinik im Bahnhofsviertel umgezogen. Im Rahmen dieses Umzugs funktionniert die Tagesklinik „Geriatrie“ vorübergehend in die Räumlichkeiten von Zithasenior im hauptstädtischen Bahnhofsviertel (30, rue Sainte Zithe, Ebene -1).
„The Best Place for Care“
Grund für den seit Jahren absehbaren und beschlossenen Umzug der geriatrischen Dienste: Die derzeitigen Infrastrukturen in der Escher Klinik sind nicht mehr zeitgemäß. Die neuen Infrastrukturen in der Hauptstadt bieten Patienten und medizinischem Personal das bestmögliche Umfeld für eine hochwertige Betreuung und Pflege.
„The Best Place for Care“ – das ist unser Leitmotiv. Das verpflichtet. Uns geht es darum, das adäquate Umfeld für Patienten, Ärzte und Pfleger zu schaffen. Deshalb erfolgten auf den Standorten Zitha und Kirchberg in den zurückliegenden Monaten eine ganze Reihe bauliche Maßnahmen“, so HRS-Generaldirektor Dr. Marc Berna.
Die HRS wollen den Standort Esch auch in Zukunft für Aktivitäten im Gesundheitsbereich nutzen. Man behält ein Standbein in der Minettemetropole. Dafür gibt es verschiedene Ansätze. Für Details ist es aber noch zu früh. Zunächst werden noch Gespräche mit allen beteiligten Akteuren geführt und konkrete Pläne ausgearbeitet.
Die Klinik in Esch wurde 1925 von der Congrégation des Soeurs de Sainte Elisabeth in der Rue Wurth-Paquet gegründet. In den 1960er-Jahren wurden die beiden markanten Türme errichtet. Seit 2014 gehört das Escher Spital zur HRS-Gruppe.
Une prise en charge oncologique globale au sein d’une plateforme unique au Luxembourg
Les Hôpitaux Robert Schuman réunissent Case Manager, Data Manager, RCP Manager et secrétariat spécialisé au sein d’un service. La plateforme cancer, garantissant une prise en charge globale et coordonnée des patients atteints de cancer. Le Case Manager accompagne chaque patient dès l’annonce du diagnostic, en évaluant ses besoins bio-psycho-sociaux et en coordonnant les étapes du traitement. Le Data Manager assure la qualité et la traçabilité des données via le logiciel Onkolin, intégré au Registre National Cancer. Le RCP Manager organise les réunions de concertation pluridisciplinaire pour valider les plans de traitement. Le nouveau logiciel Onkomodul, permet un dossier oncologique complet dans le parcours en cas de diagnostic d’un cancer et de gérer les RCP (Tumorboard) . En 2023, la plateforme a assuré le suivi de 3097 patients en ambulatoire et 2585 en hospitalisation, en collaboration étroite avec les équipes médicales.
PANCOR : Une approche personnalisée contre le cancer du pancréas
Le projet PANCOR vise à développer des organoïdes de tumeurs pancréatiques à partir d’échantillons de patients, afin de tester l’efficacité de traitements de manière personnalisée. L’adénocarcinome canalaire pancréatique (PDAC), forme la plus courante de ce cancer, est l’un des plus agressifs, avec un taux de survie à 5 ans inférieur à 5 % et on prévoit qu’il deviendra le deuxième cancer le plus mortel au monde d’ici 2030. Cela souligne le besoin médical urgent de nouvelles options de traitement.
PANCOR s’appuie sur des cultures cellulaires 3D, plus proches de la réalité biologique que les cultures 2D classiques. Ces organoïdes permettent de mieux prédire la réponse individuelle aux médicaments, y compris à partir de biopsies mini-invasives (FNA/B). Le projet exploite une plateforme de profilage fonctionnel des médicaments (PFP), déjà testée avec succès dans des essais cliniques sur le cancer colorectal métastatique en partenariat avec le Luxembourg Institute of Health.
Actuellement, un nouvel essai clinique est en cours de préparation pour inclure les patients atteints de PDAC que nous aimerions démarrer cette année. La Fondation Hôpitaux Robert Schuman (FHRS) soutient les HRS dans ses activités d’innovation, de recherche, de formation et d’enseignement. En soutenant notre activité de recherche avec votre don, vous contribuez à une médecine plus humaine, précise et innovante, qui vise à accélérer le passage des résultats de laboratoire au lit du patient.
Pour plus d’informations : www.fhrs.lu
Agenda
Juin
- 18/06 à 17h Mini GSO sur le thème de l’intégration des soins palliatifs. Lieu : CHDN.Informations et inscriptions : www.chl.lu.
Juillet
- 07/07 de 18h à 19h30 :Soirées d’informations Profamille : vous avez un proche souffrant de schizophrénie et vous souhaitez en apprendre plus sur la maladie, les traitements et les méthodes de communication efficaces ? Alors inscrivez-vous à la soirée d’information pour un aperçu du programme Profamille. Lieu : locaux de la Ligue Santé Mentale, au 1, dernier sol à Bonnevoie (proche piscine et centre culturel). Informations et inscriptions au 49 30 29 241 ou [email protected]
Août
/
Septembre
- 27/09 : Journée mondiale du cœur. Stands d’informations et de sensibilisation. Lieu : Place d’Armes, Luxembourg. Pour plus d’informations : www.hopitauxschuman.lu.